Eviter des endommagements de l’image

Une fois décidé pour une œuvre d’art qui est sensée ornée le propre appartement, on a envie qu’elle dure le plus longtemps possible. De plus, dans son apparence originale. Il y a plusieurs facteurs qui peuvent influer sur le changement de couleur ou de structure d’une œuvre sur papier ou toile. Souvent on remarque qu’avec un certain temps et dans la plupart des cas il est très difficile ou presque impossible d’y remédier. Nous aimerions vous expliquer ci-joint quels sont ces facteurs et qu’est-ce qu’on peut faire pour les éviter.

1. Le lumière du soleil

L’exposition directe à la lumière du soleil peut être nuisible pour des peintures et des œuvres en papier. Vous avez sûrement remarqué que dans les musées, qui travaillent en règle générale avec de la lumière artificielle, il n’y a presque pas d’expositions permanentes d’aquarelles, lithographies, gravures ou d’autres œuvres graphiques. Le papier jaunis s’il est exposé trop longtemps à la lumière, les couleurs palissent et dans des parties de l’image peuvent même disparaitre. Afin de pouvoir montrer les œuvres quand même souvent en recourt à des copies ou on positionne les originaux derrière des rideaux qui réduisent l’impact de la lumière. Pour les peintures il faut faire également attention. Ceci sont des mesures que vous pouvez évidemment mettre en pratique aussi dans vos locaux privés, mais il est presque aussi efficace et sûrement plus attractif, de positionner l’image en dehors de la sphère d’un impact direct de la lumière. De l’autre côté, vous pouvez donner à votre image la protection contre les rayons ultra-violets qu’il lui faut, si vous choisissez un encadrement soigneux avec par exemple un verre de haute qualité.

Vous pouvez combiner un verre de qualité musée ou un verre avec une protection ultra-violette spécifique avec un cadre existant ou nouveau et éviter simplement le problème. Si vous cherchez une solution plus économique, vous pouvez utiliser également du verre en acrylique, du verre artificiel, qui possède une bonne protection contre les rayons ultra-violets de base. Il est pourtant nécessaire de considérer que l’utilisation d’un verre en acrylique n’est pas possible lors de dessin en charbon, crayon ou en craies, parce que le verre est antistatique et attire ainsi les particules des pigments.

2. Température et humidité de l’air

Des basculements de la température et de l’humidité de l’air sont nocifs pour les œuvres d’art. Ils peuvent être à l’origine de changement des matériaux, ils peuvent se dilater, contracter et ainsi perdre leur forme originale. Les toiles par exemple perdent leur tension, les baguettes en bois sont tordues. La superficie peinte peut recevoir des fissures qui se laissent restaurer que difficilement. A l’intérieur d’un cadre se peut, de plus, produire de l’eau de condensation qui attaque à son tour l’image.

La température optimale, comme on la définit pour des expositions et des musées, est de 18 à 20°C. Ceci correspond à la température ambiante conseillé pour chez soi que vous pouvez contrôler facilement à l’aide d’appareils techniques.

Die optimale Temperatur, welche in Ausstellungen und Museen der Standard ist, liegt zwischen 18-20° C. Selbstverständlich ist Ihr zu Hause kein Museum; dennoch ist es empfehlenswert auf eine gleichbleibende Temperatur und Luftfeuchtigkeit zu achten.

3. Acides

Des acides peuvent pénétrer vers l’image depuis le cadre et le support arrière. Ils provoquent un vieillissement de l’image et son jaunissement. Souvent il n’est pas possible de voir les endommagements à l’œil nu, mais uniquement quand c’est déjà arrivé et plus réparable. Mais on peut l’éviter, si on ajoute à l’image devant et derrière un carton sans acides. Le passe-partout et le carton entre le support arrière du cadre et l’image fonctionnent d’obstacles contre les substances nocives, ils les absorbent sans les transmettre à l’image.

4. Fumée

La nicotine produit par les cigarettes se pose sur les peintures qui ne sont pas protégées par une plaque de verre et agresse les couleurs, même si les œuvres disposent d’un vernis. Après un certain temps se produit, comme on le connait des papiers peints ou de murs blancs, un jaunissement peu attractif et un voile grisâtre qui troublent l’apparence originale de l’image. Avec des procédures de nettoyage compliquées il est possible d’enlever les couches extérieures, mais uniquement par des experts, si on ne veut pas risquer des endommagements, et cela peut coûter beaucoup. Fumée et nicotine peuvent avoir un impact aussi sur des images encadrées. S’il n’y a ainsi pas d’environnement sans fumée à disposition, il est possible de réduire la pénétration des substances nocives avec un passe-partout et un carton entre l’image et le support arrière du cadre. De plus, il est possible de compacter les différents espacements. Faîtes attention au fait que toutes les mesures soient révocables. De cette manière vous pouvez remplacer les éléments individuels si nécessaire.

5. Poussière

Un autre élément qui doit être considéré pour une protection optimale des images est la poussière. Elle fait partie intégrante de notre environnement, souvent elle se pose de façon invisible sur les objets. Mais elle n’est pas aussi inoffensive comme elle semble. En effet, si les particules de poussière deviennent compactes, et là le papier est particulièrement sensible, elles peuvent provoquer des salissures irrévocables. La poussière contient en plus des substances nocives qui se trouvent dans l’air et qui ensuite peuvent attaquer les images. Il est difficile de nettoyer des peintures ou des œuvres sur papier de la poussière et il est conseillé de demander à des experts. Pour protéger des œuvres contre la poussière il est conseillé d’utiliser un encadrement avec du verre. Faîtes attention, que les peintures à l’huile soient complètement séchées avant de les encadrer.

Bilan

Comme vous voyez, les dangers pour une œuvre d’art sont multiples et tout à fait réalistes, vu que presque tous les éléments font partie d’une situation quotidienne normale. Les mesures qu’on peut prendre contre une exposition massive au soleil, les oscillations de température et d’humidité de l’air, contre les acides, la fumée et la poussière sont nombreuses et pas hors de prix. Il faudrait agir selon le principe « Mieux vaut prévenir que guérir ! ». De cette façon il est possible d’éviter la plupart des endommagements.